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Nightrunner de Lynn Flewelling

QUATRIÈME DE COUVERTURE DU TOME 5 :

 

Nobles décadents, espions hors pair et héros inattendus, Alec et Seregil ont survécu à l’exil, à la trahison et à la magie noire. Mais la route qui les attend va se révéler plus dangereuse que tout ce qu’ils ont connu jusque-là. Cernés par leurs ennemis, ils doivent cheminer sur l’étroit sentier entre le bien et le mal. Un seul faux pas pourrait leur être fatal...

Après avoir échappé à l’esclavage et à la mort en Plenimar, Alec et Seregil n’ont qu’une envie : retrouver leur existence d’oiseaux de nuit à Rhíminie. Mais ils sont contraints de jouer les nourrices pour Sebrahn, une étrange créature conçue par alchimie, le fameux « enfant d’aucune femme » annoncé par la prophétie. Sa peau blanche comme la lune et ses pouvoirs terrifiants mettent en danger tous ceux qui approchent ses protecteurs... ne leur laissant d’autre choix que de découvrir les secrets de la véritable nature de Sebrahn.

Grâce à l’aide d’amis proches et du clan de Seregil, le trio se met en route pour un périple risqué. Car le vieil ennemi de Seregil, Ulan í Sathil, et les parents éloignés d’Alec sont à leurs trousses, bien décidés à prendre possession d’Alec et de Sebrahn. Une course contre la montre débute pour une quête plus intime que jamais...

 

QUATRIÈME DE COUVERTURE DU TOME 6 :

 

Au-delà de leur image de nobles dissolus, Alec et Seregil sont deux espions habiles et dévoués au service de la reine et leur pays. Ils se retrouvent cependant confrontés à un conflit de loyauté sans précédent lorsqu’ils découvrent les preuves d’un complot opposant la reine Phoria et la princesse Klia.

En temps de paix déjà, la cour royale de Rhíminie s’apparente à un nid de vipères. Mais avec la guerre contre Pleminar qui s’enlise, les trahisons se multiplient dans l’ombre. Ce n’est toutefois pas l’unique danger qui menace : une mystérieuse épidémie se propage dans les rues surpeuplées de la ville, frappant sans distinction.

Alors que la panique se répand et que le nombre de cadavres augmente, des secrets longtemps cachés remontent à la surface. Et comme Seregil et Alec ne vont pas tarder à l’apprendre, les conspirations et les épidémies ont un point commun : l’antidote peut être aussi mortel que le mal.

 

QUATRIÈME DE COUVERTURE DU TOME 7 :

 

Le gouverneur de l’île sacrée de Kouros et sa maîtresse ont été tués dans une chambre verrouillée et surveillée. Les seuls témoins du crime – des gardes qui ont enfoncé les portes en entendant les cris provenant de l’intérieur –, sont devenus fous de terreur, bafouillant des histoires de fantômes… et pire encore.

Envoyés à Kouros par la reine, les maîtres espions Alec et Seregil vont se heurter à une menace inédite. Car un mal ancien a été réveillé, une puissance obscure qui ne s’apaisera pas avant d’avoir échappé à sa prison d’un autre monde et accompli sa vengeance. Et seuls ceux comme Alec, qui sont morts et revenus à la vie, peuvent passer d’un monde à l’autre et affronter l’assassin – même si cela pourrait coûter à Alec une seconde mort bien trop prématurée…

Alec et Sergil by Michael Komarckart
Alec et Sergil by Michael Komarckart

 

MON SENTIMENT :

 

Juste un petit mot rapide sur les trois derniers tomes (les autres ayant été lu il y a trop longtemps pour que je m’en souvienne correctement).

Le tome 5, La route blanche, m’avait pas mal déçu, que ce soit au niveau de l’atmosphère oppressante – de par la situation – ou des rapports entre les personnages. C’était larmoyant, fade et sans réel intérêt pour mes attentes.

 

Je craignais donc que le tome 6, Le coffre des Âmes, me déçoive également mais non, pas du tout. J’avais retrouvé avec bonheur Alec et Seregil et l’ambiance attractive qu’ils dégagent.

Ce tome est beaucoup moins sombre et sanglant que le 3 et 4, mais c’est tout à fait ce qui me convenait sur le moment, j’avais donc doublement apprécié de retrouver ce monde plein de conspirations et de mystères.

Les divers personnages étaient tous très touchants et j’avais ressenti ce fameux sentiment d’abandon en devant laisser, une fois encore, Alec et Seregil – ne sachant pas quand j’aurais la chance de pouvoir les retrouver.

 

Mais l’attente fut courte puisque le tome 7, Les éclats du temps, est sorti seulement quelques mois après le tome 5 et 6.

Ce dernier tome, comme le précédent est plus léger que le début de la série qui pouvait parfois s’avérer dur à encaisser de par les situations scabreuses (pour ne pas dire désastreuses) qui pouvaient arriver.

Les protagonistes, égales à eux-mêmes, nous ont donc conduit au cœur d’un mystère bien plus sombre et complexe que la simple affaire de fantômes qui les avait au départ amené sur l’île sacrée de Kouros.

 

À la fin du tome 7, l’auteure nous annonce dans la postface, que nous venons de lire le dernier tome de la saga.

Ça m’a fait – comme à chaque fois que je termine une série – un pincement au cœur de me dire que je ne retrouverai plus les protagonistes, ni l’ambiance, ni ce chouette monde plein de richesses et d’originalité.

 

J’ai vraiment aimé partager la vie d’Alec et Seregil – et des autres personnages – de les accompagner tout au long de leurs aventures, parfois funèbres et oppressante, parfois joyeuses et pleines de surprises étonnantes. Leur caractère mutin. Les fourberies des uns et les cachotteries houleuses des autres. Les descriptions détaillées des rues de Rhíminie, des différentes races peuplant ce monde, leurs traditions, leur histoire. Les intrigues politiques. La magie et ces différentes sphères. Tout ceci va vraiment me manquer.

 

Claytone Carpe

CITATION :

 

"Seuls les morts peuvent marcher avec les morts."

Nightrunner-T7

Les éclats du temps

Lynn Flewelling

Nightrunner
Nightrunner

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